un week end ordinaire 2/6

Amateur

un week end ordinaire 2/6Je sens quelqu’un s’approcher, mes deux mains sur les genoux, la personne me les saisis, me fais donc signe de me lever, doucement.« Bonsoir Nathalie » la voix est féminine, presque rassurée, je me détend un peu. Je sens qu’elle se rapproche, ses lèvres touchent les miennes. C’est la première fois qu’une femme m’embrasse, je frissonne de tout mon corps, sa main caresse ma nuque puis descend en haut de ma poitrine, mes tétons durcisses. Que c’est doux, mes lèvres s’ouvrent, elle rentre sa langue dans ma bouche, je suis hypnotisée. Après ce baiser de bienvenue, elle me demande de la suivre, ne lâchant sa main, elle me guide en dehors de la chambre, ses pas sont lents, pour que je ne trébuche pas. « Attention, il y a une marche à descendre » je suis prudente, je ne sais pas où cela va m’emmener. Puis elle s’arrête, me tourne d’un quart de tour et me lâche la main. Pétrifiée, ma respiration s’accélère. Elle est là, à coté, je la sens « je t’interdis d’enlever ton masque C’est compris ? » Oui, je balbutie« Oui madame ! » reprend elle ! “Euuuh, oui madame !” Pourquoi tant de fermeté dans le langage alors qu’elle a été si douce avant ?Je la sens qui tourne autour de moi, puis ses main me frôlent, je frissonne, ses caresses se font de plus en plus douces, mon dos, mes jambes, le cou, tout y passe.Elle me prends les mains. « Recule d’un pas » je m’exécute timidement. « Encore » Je sens un lit peut être, derrière güvenilir bahis mes genoux. « Assied toi » Sa ressemble vraiment à un lit.Sa main appuie sur ma poitrine pour que je m’allonge. Puis descend, me caresse le ventre, les cuisse, se rapproche de mon sexe tout émoustillé, c’est une femme, elle le sais. Elle embrasse le haut de mes cuisses pour faire monter en moi un désir qui maintenant masque l’humiliation du k**napping.Ses mains sur mon ventre, son visage entre mes cuisses, je suis troublée, jamais une femme ne m’avais fais tel traitement je sens mon shorti descendre, sa main caresse mes lèvres qui s’ouvrent, je mouille comme jamais, mes reins se cambrent pour acquiescer se plaisir inconnu. Sa bouche rejoint la mienne, le baiser est beaucoup plus fougueux que le premier. Ses doigts entrent en moi, je gémis.« sa te plais ? » « Oh oui madame »« Caresse moi »Je m’exécute, sa peau est douce, quelle agréable sensation sentir un corps identique au mien, je ne peux le voir, c’est peut être sa le plus frustrant. Elle détache mon soutient gorge, j’en fais de même. Sa poitrine est belle, je la sens ferme et opulente. Elle me guide sur le lit pour que je sois allongée entièrement, je sens des jambes de part et d’autre de ma tête, elle colle son sexe à ma bouche. « Je n’est jamais fais cela, madame »« Fais comme pour toi, donne ce que tu attends, je te le rendrais décuplé »Hésitante, je pose mes mains sur ses cuisses, ma langue güvenilir bahis siteleri lèche ce terrain inconnu, quelle douce sensation, ses lèvres s’ouvrent, mes doigts cartent ses portes déjà entrouvertes, je trouve sans difficultés un clitoris gonflé. Elle me fait la même chose, je suis désarçonnée ! C’est bon ! Je renouvelle mon expédition dan son intimité, elle dégouline. Mon nez, mon menton son recouvert de son jus. Elle me met un doigt, je me cambre de plaisir ! « Je vais mettre un gode ceinture, caresse toi en m’attendant » Elle m’a chauffé comme une folle, je caresse mes seins gonflés d’une main, et mon clito de l’autre, je n’en peu plus, j’ai envie de jouir. Je me cambre, me dandine, même dans mon lit je n’ai jamais prouvé autant de plaisir.« Que tu es belle quand tu te caresses » je stop net, c’est vrai que je suis à la merci de cette femme.Elle carte mes jambe, je sens cette bite en caoutchouc entrer en moi, que c’est bon ! Et ses mains sur mes seins me malmènent en douceur. J’encercle sa taille de mes jambes pour lui donner le rythme, on est seins contre seins, sa peau est incroyablement douce malgré la chaleur ambiante. Elle se relève , se retire et m’ordonne de me mettre à quatre pattes, je m’exécute. Asservie, en levrette, ma maîtresse me pénètre ardemment, je cris de plaisir, ma main branle vigoureusement mon clito, mon cul claque sur les hanches de ma maîtresse, la vague monte, je jouis sans m’arrêter, iddaa siteleri une fois, deux fois, je ne contrôle plus rien, mon corps vibre tout entier, je n’en peu plus, je m’écroule, je tremble de partout. En dernier aller retour sec m’offre un dernier spasme.Mes jambes flagelles, je suis en nage,jamais je n’ai joui autant. Ni seule ni avec un homme.Ma geôlière me susurre « tu a aimé sa petite ingénue ? »« Oh oui madame »«  je vais te ramener à ta chambre, prend une douche et repose toi. Demain tu va prendre cher ! »« Bien madame »Elle s’exécute, me fait lever et me ramène à ma chambre, sur le canapé.« attend que la porte se ferme pour enlever ton masque »« bien madame »Elle appose sur mes lèvres un tendre baiser« A demain »Mes oreilles affûtées, je guette le bruit de la porteSa y est elle est partie. Délicatement, je retire le masque, je vais dans la salle de bain. mes affaires ne sont plus là ! Mes fringues d’avant la douche de tout à l’heure ! Il ne me reste que le porte jarretelles, les bas, détachés, j’ai les cheveux en batailles, les seins encore gonflés. Je me délaisse de ce qu’il me reste, je fais couler l’eau, comme purificatrice. Où suis-je ? Pourquoi me suis je laissé faire ? Que me réserve t-elle pour demain ? Combien de temps vais-je rester ici ?J’att**** le peignoir, je me sèche et me dirige prés du lit, je retrouve cette nuisette mauve, je l’enfile après m’être bien essuyée. Je me glisse sous les draps frais, je suis fatiguée mais mes yeux restent grands ouvert. J’éteins la lumière, Ce silence ! Je repense à ces moments, ma main retrouve mon clito, je me caresse en me repassant cette soirée. Le sommeil me ratt****.Je n’ai jamais été aussi docile.

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